Les faibles précipitations en France, le plus grand producteur de céréales de l’Union européenne, ont aggravé les inquiétudes du marché concernant l’approvisionnement mondial ; et ceci compte tenu de la perturbation des exportations ukrainiennes par la guerre, maintenant les prix européens des matières première à des niveaux record. A quoi s’attendre alors, et que faire face à tout cela ? Pour plus de détails, veuillez poursuivre la lecture de l’article dans les lignes qui suivent pour plus de compréhension.

Temps sec : un frein pour la production céréalière française

Des précipitations inférieures à la moyenne en hiver et au début du printemps ont déjà entraîné des restrictions d’eau locales dans certaines régions de France, bien que le ministère ait déclaré que l’agriculture avait reçu un statut prioritaire comme les centrales électriques.

Même récemment, le gouvernement a annoncé un financement supplémentaire de 100 millions d’euros (105,57 millions de dollars) pour les agences de l’eau afin d’aider à atténuer les effets de la sécheresse.

Par ailleurs, pour ce qui concerne les cultures de printemps semées récemment comme, la betterave à sucre, le maïs et les graines de tournesol ; le ministère a pris les mesures nécessaires pour surveiller les conditions sur le terrain. Sachant bien sûr que la pluie est très crucial pour les semaines à venir afin d’éviter les pertes de rendement.

Il faut aussi noter que les contrats à terme sur le blé d’Euronext se sont redressés pour atteindre des sommets. Tout ceci, alimentés par les estimations du gouvernement américain d’un resserrement des approvisionnements nationaux et mondiaux en blé la saison prochaine.

En terme de valeur, l’orge du printemps perd 12 points à 76 %, désormais sous le niveau d’il y a un an de 85 %. En hiver, elle a chuté de 7 points à 79 % ; tandis que la note du blé dur a perdu six points à 77 %, bien que les deux soient restées au-dessus des niveaux de l’année précédente.